nv--impresiones

Divertida esta película compuesta de cortometrajes de siete directores de cine confirmados. Cada uno pinta la Habana de su imaginación, con sus estereotipos y sus sorpresas. Varios actores y personajes aparecen en más de un corto dándole más realidad al conjunto. El gringuito que llega a conquistar cubanas y termina con una relación ambigua, el gran director de cine Kusturica que está en el festival de cine pero más interesado por la bebida, la música y un mujer que lo espera lejos de allí, los extractos de discursos de Fidel que parecen surrealistas cuando uno piensa en la historia de la isla, el palestino perdido en ese mundo extraño, los que quieren abandonar el país y los que se quieren quedar por motivos tan diferentes. En fin, una buena dosis de humor, de crítica, de música y de personajes pintorescos. Me gustó.

7 jours à la Havane
Titre original 7 días en la Habana
Date de sortie 30 mai 2012 (2h9)
Réalisé par Benicio del Toro, Pablo Trapero, Julio Medem, Elia Suleiman, Gaspar Noé, Juan Carlos Tabio, Laurent Cantet
Avec Josh Hutcherson, Vladimir Cruz, Emir Kusturica
Genre Drame Nationalité Français, espagnol

Synopsis : Instantané de la Havane d’aujourd’hui : un portrait contemporain d’une ville éclectique à travers un film composé de 7 chapitres réalisés par Benicio del Toro, Pablo Trapero, Julio Medem, Elia Suleiman, Gaspar Noé, Juan Carlos Tabío et Laurent Cantet.

À travers leurs différentes sensibilités, origines et styles cinématographiques, ils ont saisi l’énergie et la vitalité qui rendent cette ville unique. Certains réalisateurs ont eu le désir de croiser la réalité cubaine en prise avec son quotidien, avec le regard d’étrangers loin de leurs repères. D’autres ont choisi l’immersion totale et se sont inspirés de la vie de la population locale.

Chaque chapitre raconte une journée de la semaine, à travers le quotidien d’un personnage différent. Loin des clichés, ce film a pour vocation de faire résonner l’âme de cette ville hétéroclite au fil des quartiers, des ambiances, des générations et des cultures. Si les 7 histoires présentent des intrigues différentes, les réalisateurs ont accepté d’inscrire leur récit dans une trame partiellement commune et de lier les histoires entre elles, afin de créer une impression d’unité dramatique. Certains lieux de tournage, comme l’Hôtel Nacional ou le Malecon, apparaissent de façon récurrente au fil des chapitres. Certains personnages principaux et secondaires glissent d’un film à l’autre, connectant les histoires, de manière à montrer qu’à la Havane, toutes les couches sociales se croisent, se côtoient, parfois s’entremêlent...

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=194479.html

Ya se acerca de nuevo el festival de cine latinoamericano de Ginebra que tanto me gusta. Además, como ya no participo en su preparación, encuentro más sorpresas y películas por descubrir. Precisamente, el sábado pasado hubo una jornada de presentación para atraer al público al verdadero festival que ya va a comienza en serio. Vi un documental sobre los noticieros cubanos que se filmaban para ser proyectados en el cine. Evidentemente son llenos de propaganda a favor del régimen y tienen un sesgo político muy claro. Sin embargo, me pareció interesante ver su evolución lo mismo que, como obra cinematográfica, conocer al equipo que los produjo con medios tan limitados. Es ahí donde se ve la creatividad del ser humano y la genialidad de ciertos cineastas. También se nota la evolución del pensamiento de los cubanos y de la humanidad en estos últimos cincuenta años.

Memoria Cubana / Mémoire Cubaine
Alice de Andrade et Ivan Nápoles
Sous-titres : Français, Pays : Cuba, France, Langue : Espagnol, Durée : 71 min, Année : 2010, Age légal : dès 12 ans

De 1960 à 1990, L’ICAIC (Institut cubain de l’Art et de l’Industrie Cinématographiques) a produit des noticieros, de courts documentaires rapportant les actualités et projetés de manière hebdomadaire dans les salles de cinéma du pays. Un programme de restauration de cette « mémoire cubaine » est soutenu par l’UNESCO et elle a été enregistrée en tant que « mémoire du monde » par cette même organisation. Quant à la réalisatrice, elle a choisi de participer à leur conservation en rencontrant les auteurs de ces documentaires.

En mettant à jour ces archives filmiques, ce documentaire passe en revue des évènements marquants de la deuxième moitié du 20ème siècle, vus à travers le regard cubain révolutionnaire, un regard souvent insolent et esthétiquement novateur.

http://www.filmaramlat.ch/

Esta comedia cubana resultó simpática. Juega con el sueño de la gente de volverse rica, en especial recibiendo una herencia de un pariente lejano. En medio de todo hay una crítica de la sociedad cubana y de la sociedad capitalista y materialista. Los actores son buenos aunque a veces las cosas parecen demasiado exageradas. A menos que sea el carácter tan exuberante de los cubanos. El director Juan Carlos Tabío estuvo presente en la proyección y contestó a las preguntas del público. Tiene otras películas a su activo tales como Fresa y chocolate, Guantanamera y Lista de espera.

El Cuerno de la abundancia - La Corne d'abondance
Pays : Cuba
Réalisateur : Tabio Juan Carlos
Pays : Cuba
Support : 35 mm
Année : 2008
Catégorie : Fiction
Durée : 117
Langue : esp. s.-t. fra

Description : Dans un village de Cuba se répand la nouvelle selon laquelle 25 000 Cubains vont hériter d'une fortune déposée au XVIIIè siècle dans les caisses de la Banque Britannique. Tous ceux qui portent le nom de Castiñeiras vont en recevoir une partie. Les bénéficiaires, dirigés par Bernardito, commencent les démarches pour obtenir l'argent, mais de nombreux obstacles vont surgir et se succéder dans la recherche du trésor.
http://www.youtube.com/watch?v=jJScDTUhHnA