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domingo, 03 abril 2016

Après la présentation du livre

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C'était bien sympa la présentation de mon livre El ojo de la cerradura (Le trou e la serrure) mercredi soir. J'ai eu l'occasion de revoir des vieux amis que j'avais perdu de vue. Nous n'étions pas très nombreux, car il y avait des activités concurrentes comme l'assemblée de l'association d'ingénieurs informaticiens de Colombie ou des assemblées de copropriétaires qui ont lieu ces derniers jours de mars. À celle de notre immeuble quelqu'un nous a représenté car la date n'était pas fixée lorsque l'on a choisi celle de la librairie Casa Tomada.

En fait mon frère qui habite près de cette librairie avait déjà eu des contacts avec eux l'année dernière pour laisser quelques exemplaires de mon livre. Lorsque mon ami Fernando Fernández a présenté son roman au même endroit, le nom de la librairie me disait quelque chose, mais j'avais oublié la démarche de mon frère. Après la présentation de Fernando, j'ai parlé avec mon frère qui m'a rappelé le nom. C'est avec lui que j'ai pris contact avec la librairie et grâce à son concours on a pu fixer rapidement une date.

Comme le temps était court, j'ai demandé à deux amis de m'aider à animer la soirée car ils avaient acheté le livre. En fait, ce sont leurs conjoints qui ont relevé le défi et ont fait aussi le succès de la soirée. Merci donc à Olga Lucía et Rodrigo pour leurs aides.

Il y a toujours des questions intéressantes dans ces soirées : quelques unes se répètent mais il y a parfois des surprises. On m'a demandé par exemple quels auteurs de nouvelles m'avaient le plus inspiré ou influencé. J'ai nommé évidement Poe, Tchekhov, Borgès, Cortázar et García Márquez, ainsi que Pouchkine, Kafka et le chilien Bolaño. On m'a demandé pour les auteurs français, mais je ne me suis pas rappelé de beaucoup de noms, car en France le roman est plus à la mode que la nouvelle. Autrement j'aurais mentionné Proust et Balzac par exemple. J'ai oublié Guy de Maupassant qui a écrit pas mal de bonnes nouvelles. J'ai aussi nommé George Orwell et Aldous Huxley pour leur thématique que j'ai beaucoup aimé, mais j'ai oublié de mentionner Somerset Maugham, Hemingway et Thomas Mann. Je me suis rappelé des recueils de nouvelles que Hitchcock éditait, de la série de télévision étasunienne qu'il présentait ainsi que de la fameuse série des années soixante : Dimensión desconocida (The Twilight Zone, en anglais, et La quatrième dimension, en français) que je ne ratais pas car je les aimais beaucoup. IMAG1634.jpg

Je pense que ceux-là sont les auteurs (et programmes) qui ont le plus compté pour moi. En fait il doit y avoir bien d'autres influences, mais on n'est pas toujours conscient. Hélas, il faudrait avoir beaucoup plus de temps pour lire et bien sûr, pour écrire. Maintenant, il faut préparer une autre présentation à Ibagué pour début mai.

viernes, 11 marzo 2016

Presentación del libro de relatos

ojocerradura.jpg«El ojo de la cerradura» de Nelson Verástegui
Tertulia animada por Olga Lucía Giraldo y Rodrigo López
Miércoles 30 de marzo de 2016 a las 6 p.m.
Librería Casa Tomada
Transversal 19 Bis No. 45D-23
Teléfono: 2451655
Bogotá, Colombia
http://libreriacasatomada.com/mapa.html

viernes, 12 marzo 2010

Entre libros

NV-IMP620.JPGAnoche estuve en Beirut buscando una editorial no sé para qué. Primero había un problema con una estufa de gas que tenía escapes y me tocó cerrar con mucho cuidado. Después anduve en un hotel usando las duchas sin permiso escapando de la vigilancia del personal y de los clientes. Me di cuenta de que estaba en Beirut. Estuve en una biblioteca o librería hablando con los dueños o tipógrafos pues buscábamos fuentes y pólizas para las publicaciones en varios idiomas. De un estante lleno de libros viejos llenos de polvo con lomos rojos deshilachados tomé uno grande y pesado. A la luz de una lámpara de escritorio lo abrí y encontré un artículo interesante. Era un diccionario enciclopédico y creo que caí en la letra D. Repentinamente el libro se me cerró quizás por un movimiento brusco de la mano y cuando lo volví a abrir uno de los señores que estaban conmigo (gordo y de barba gris) me dijo:

  • No busque la página que estaba leyendo. Ese es el libro infinito de Borges donde nunca se puede leer la misma página más de una vez.

Tan grande fue la sorpresa que me desperté. Eran como las dos de la mañana. Me levanté, fui al baño, tomé agua, pensé en lo que me había hecho la víspera y me dije que uno construye sus sueños y pesadillas con las migas que quedan en el inconsciente de la rebanada de vida del día anterior.

09:04 Anotado en Recuerdos | Permalink | Comentarios (1) | Tags: sueños, libros