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This week I have just finished another MOOC (Massive Open Online Course) from the Open University, this time on writting fiction. It was eight weeks of on-line lessons, exercices and practice. I have already followed several MOOCs on this platform. This particular one was more difficult as it pushed me to write fictions in English and as I prefer to write in Spanish, sometimes I wrote directly in English, sometimes I translated from my Spanish. The most interesting thing was the possibility to exchange with other fellows and also critize their work or to be critized by them. As I have many years of experience in writting, I knew most of the technics explained, but I have anyhow learned, write and read a lot. Contrary to other MOOCs I haven't seen a lot of interaction with tutors which was a pity. The most motivated participants have created a Facebook group in order to keep in touch and continue sharing this activity. I will post here some of the short stories I have written during the course. I had fun.

https://www.futurelearn.com/courses/start-writing-fiction #Flfiction

La fièvre du tango me revient de temps en temps. Pas comme il y a une quinzaine d'années, mais quand même. Cette fois c'était des cours de tango offerts par l'association d'anciens élèves de mon université, Universidad de los Andes. Nous avons suivi deux heures de cours par semaine, le soir, pendant six vendredis. Les profs étaient des bons danseurs Colombiens. Le groupe était sympa, une vingtaine de couples de tous âges. Nous ne connaissions personne. Une bonne occasion de rencontrer des nouvelles têtes. À part nous et un ou deux autres couples, c'étaient des débutants. Il y a eu quelques personnes qui ont abandonné en route ou qui ne sont pas venus toutes les semaines.

Les samedis matins il y avait aussi des cours de salsa, mais nous avions déjà d'autres cours en même temps (céramique pour Coni et Art et littérature pour moi). De toute manière ça aurait été trop.

Il nous a fallu d'abord acheter des chaussures, ce qui n'a pas été évident ; la plupart du temps c'était des chaussures avec des semelles en caoutchouc. Nous avons dû aller au quartier Restrepo (où l'on trouve les spécialistes des chaussures) pour trouver les meilleures, mais après, nous avons dû faire mettre des semelles 100% en cuir plus adaptées.

Ça ne fait pas de mal de revoir les bases du tango argentin. On s'est vu dans les efforts des autres en train d'apprendre à marcher en avant et en arrière, à tenir l'équilibre, à guider, etc. comme à la fin du XXe siècle nous commencions à maîtriser cette belle danse.

Nous avons reconnu quelques pas que Mariela, une prof Argentine de Genève, nous avait appris il y a bien longtemps. Tout comme elle, cette fois il n'y avait qu'un seul prof par cours, un homme. Le prof du premier cours n'a pas pu venir aux suivants car il avait un spectacle de tango, Rayuela. Celui qui l'a remplacé est venu lors du dernier cours avec sa cavalière de tango, une jolie Colombienne qui danse très bien mais qui ne vit pas de la danse. Elle a une entreprise d'importation de tissus.

Ils étaient beaux à la fin du cours lorsqu'ils ont résumé les pas appris en tango, milonga et même salsa. Maintenant il va falloir aller aux milongas de Bogotá. Parait-il qu'il y en a des bonnes. On nous a parlé de l'école Alma de Tango dans le quartier de Galerías qui en plus de cours de danse (tango et autres danses latines) organise des milongas.

¡Uf! A ver si respiro un poco. Hoy tuve el examen escrito de árabe y el martes próximo será el oral para terminar el año escolar. Después, durante dos o tres meses no tendré clase, aunque espero sacar tiempo para revisar. Claro, por andar preparándome para los exámenes, no pude escribir estos últimos días y me hace falta. En realidad no puedo estudiar regularmente como se debe por tantas ocupaciones en que las que me meto.

El vocabulario es tan distinto al de los idiomas que conozco que cuesta trabajo memorizarlo. La gramática tiene sus dificultades y particularismos a los que no me acostumbro todavía. Por ejemplo eso de tener tantos pronombres personales es un rompecabezas. No les basta con el yo, tú, él, nosotros, vosotros y ellos, pues tienen un tú masculino y otro femenino, hay un pronombre para dos personas, además si son dos mujeres, es otro. Las cosas y animales cuando son en plurales funcionan como si fueran en singular femenino. Es como si uno dijera un libro abierto, pero unos libros abierta. La mayor parte de los plurales son irregulares y no como en español que en general con añadir una ese basta. La raíz de las palabras está formada por tres letras y en el diccionario las palabras aparecen agrupadas por la misma raíz y no por la primera letra. Mientras en nuestro idioma la palabra libro, librería, biblioteca, escritorio, escritor, autor están el los capítulos correspondientes a las letras ele, be, e, y a, en árabe están en la entrada KTB que es la raíz común.

Creo que en vez de inscribirme a otro semestre en septiembre, voy a ver si me voy a pasar quince días en El Cairo en un cursillo intensivo. Así al menos me podré dedicar al idioma (sin olvidar el turismo) con la esperanza de ganar tiempo. Otra posibilidad sería dejar de estudiar árabe y empezar a aprender chino y después, derechito al manicomio. ¡Ja, ja!

Aquí les dejo una versión árabe de la conocida canción Quizás, quizás. Me gustaría encontrar la letra. Lo único que he descifrado es que en lugar de quizás dicen al contrario. Curioso, ¿no?