Ok

By continuing your visit to this site, you accept the use of cookies. These ensure the smooth running of our services. Learn more.

jueves, 18 febrero 2021

Le tiers temps

LetierstempsG03793.jpgEsta obra de Maylis Besserie ganó el premio Goncourt de primera novela en 2020. Trata de los últimos meses que el escritor irlandés Samuel Beckett pasó en la casa de mayores Le Tiers Temps (El Tercer Tiempo) en París en 1989, año de su muerte. El famoso dramaturgo fue alumno y secretario de James Joyce, ambos ganadores del Premio Nobel.

La novela de Besserie juega con la vida y obra del irlandés mezclando elementos reales con la ficción propia a la novelista. Escribe en primera persona lo que ella supone que Beckett pensaba en esos momentos. También incluye partes médicos o informes del personal del hogar donde vivía el escritor. Se mezclan los recuerdos con la supuesta realidad del momento. Cuando la salud del personaje va empeorando, la escritura también se hace confusa. Me recordó ese divagar que a veces me sucede en la noche cuando por algún motivo no puedo dormir, pero tampoco me levanto de la cama, pasando por momentos de sueño y de conciencia que se mezclan de forma un poco disparatada y descosida, propios del duermevela.

Está bien escrita, aunque por momentos se me hizo larga o monótona. La novela en sí es corta. Tiene apenas 180 páginas. Lo hace a uno sentir en ese ancianato esperando el desenlace de toda una vida. Interesante.

Vi la famosa pieza Esperando a Godot de Beckett hace muchos años en la televisión colombiana. Es una obra típica del teatro del absurdo tan aparentemente sin sentido y que a pesar de lo ilógica deja mucho que pensar e interpretar.

Da la casualidad de que escuché en enero una conferencia virtual sobre el Ulises de Joyce, dictada por el especialista colombiano Azriel Bibliowicz y organizada por la asociación Uniandinos. Se analizaron sus personajes centrales, su argumento, el monólogo interior, el recorrido por Dublín, la simultaneidad de las acciones, sus múltiples formas narrativas, la escatología, la acusación de obscenidad y algunos capítulos que resultan particularmente difíciles, explicando qué los hace tan crípticos. Fue tan interesante que por fin me preparo a leerlo en la famosa traducción de José María Valverde. Ya lo compré y está en espera con una novela de Murakami igual de gorda.

Le tiers temps
MAYLIS BESSERIE
Collection Blanche, Gallimard
Parution : 06-02-2020

Rue Rémy-Dumoncel, dans le quatorzième arrondissement de Paris, se trouve un immeuble blanc – une maison de retraite baptisée Le Tiers-Temps. Au milieu de la cour, un arbre solitaire. Parmi les résidents, un grand échalas, au visage sombre mais aux yeux encore perçants, joue avec ses souvenirs où se mêlent deux langues, l’anglais de son Irlande natale et le français de son exil littéraire. Ce vieux monsieur s’appelle Samuel Beckett.

Ce premier roman dévoile un Beckett surprenant, attendant la fin (un comble), devenu pour ainsi dire l’un de ses propres personnages. On voit défiler les épisodes qui ont marqué son existence, mais aussi la vie quotidienne au Tiers-Temps, où Beckett a réellement résidé. On est saisi par une émotion grandissante à mesure que le roman accompagne le grand Irlandais vers son dernier silence.

184 pages, 140 x 205 mm
Achevé d'imprimer : 01-01-2020
Genre : Romans et récits Catégorie > Sous-catégorie : Littérature française > Romans et récits
Époque : XXIe siècle
ISBN : 9782072878398 - Gencode : 9782072878398 - Code distributeur : G03793

20:19 Anotado en Libros | Permalink | Comentarios (0) | Tags: francés, novela, ficción

sábado, 01 febrero 2020

Mots bizarres au scrabble

NV-IMP1018.jpgLe djeun jobard aimait chasser et cuisiner des mets goths ou japonais. Il jouissait du swag et du qi. Il allait préparer un dashi à base de lulus, ables et pégases que lui seul avait le secret de composer. On dirait un vrai picaro en smok en train de bluter la farine. Le kénaf fumé en Acadie lui avait fait bâsir les engrammes de son séjour en Iraq pendant la guerre. La djeune contractuelle qui lui mettait des pévés sur sa voiture ne savait pas que le djeun venait de se noyer dans le gley. Pauvre malheureux cuistot !

able n.m. Poisson d'eau douce.
bâsir v. (cj. Finir] En Acadie, disparaître.
bluter v. [cj. Aimer] Tamiser (de la farine).
dashi n.m. Bouillon japonais à base d'algues.
djeune n. (= djeun) Fam. Jeune.
engramme n.m. Psych. Trace laissée dans le cerveau par un événement.
gley n.m. Sol gorgé d'eau en permanence.
goth, e adj. Hist. Relatif à un peuple de la Germanie.
jobard, e adj. et n. Crédule, naïf.
kénaf n.m. Chanvre de Guinée.
lulu n.m. Alouette des bois.
pégase n.m. Poisson marin aux nageoires en forme d'ailes.
pévé n.m. Fam. Procès-verbal.
picaro n.m. Litt. Aventurier.
qi n.m. Énergie vitale, dans les pensées chinoise et japonaise.
smok n.m. Fam. Smoking.
swag adj. et n.m. Qui a du style, du charisme.

jueves, 23 febrero 2017

Le prénom

NV-IMP976.jpgJe n'ai pas vu la pièce de théâtre originale en français ni le film qui l'a suivie, mais voir son adaptation en espagnol m'a intrigué. En fin de compte c'était une bonne adaptation au langage et au monde colombiens. Quoique la prononciation à la française du prénom Adolphe c'était raté, car erronée et maladroite, le reste semble juste. C'est plutôt réussi. C'est l'histoire d'un groupe d'amis d'enfance qui s'aiment et se détestent à la fois. Il y a des surprises, on rit, mais aussi il y a un fond pathétique. Au fait c'est le reflet de l’hypocrisie de la société d'ici ou d’ailleurs. Je ne sais pas si le public non averti peut comprendre certaines références bien françaises. On passe un bon moment grâce à l'actuation et la mise en scène simple et directe. Ça m'a rappelé une pièce que j'ai vu récemment à Versoix où il s'agit de trois frères qui se retrouvent dans une réunion de famille où les tensions et rivalités internes finissent par exploser.

El nombre

Una comedia fresca, cercana, directa, delirante, que invita a pasarla bien y que a la vez abre un espacio de reflexión acerca de las diversas formas de mirar la sociedad actual. Amistad, hipocresía y mezquindad humana, nos muestran los personajes de El Nombre.

Actores: Sandra Reyes es Elizabeth, Natalia Durán es Ana, Nicolás Montero es Vicente, Mario Duarte es Claudio y Julio César Herrera es Pedro

Dirección: Mario Morgan | Asistente de dirección: Julián Arango |Dirección de arte: Alejandro Rauhut | Producción general: Johanna Morales | Escritores: Matthieu Delaporte y Alexandre de La Patelliére | Versión: F. Masllorens & F. González del Pino

Teatro Nacional La Castellana

Cl. 95 #47-15, Bogotá

http://teatronacional.co/index.php/en/el-nombre